Arthur ran a gnarled thumb along the velvet petal of a deep crimson rose, a bloom so perfectly formed it looked painted. The late afternoon sun, already dipping towards the horizon, cast long, lazy shadows across the garden path, turning the dust motes into tiny, dancing stars. A gentle sigh escaped his lips.
"Roses are red," he hummed, the familiar refrain an old melody in his mind. He’d heard it countless times, sung it as a child, quoted it in clumsy love letters as a young man. It was the simplest, most universal declaration. Bold. Unapologetic. A splash of passion against the canvas of the world.
And then, just as it always did, his mind added, violets are blue.
He paused, pruners hanging loosely in his hand. The roses in his garden were an inheritance from Elara, his wife. She had loved them with a fierce, almost possessive joy. Their vibrant hues had mirrored her own spirit: fiery, immediate, undeniably present. Their early years had been a riot of reds – laughter that echoed through the small house, arguments that burned bright and faded just as quickly, the flush on her cheeks after a shared joke, the intensity of her gaze when she spoke of her dreams. That was the "roses are red" part of their love. The grand gestures, the public declarations, the undeniable, passionate blossoming.
But then there were the violets.
They didn’t grow in the manicured beds. No, Elara had cultivated them herself, tucked away beneath the old oak tree in the shadiest, most overlooked corner of the garden. He remembered watching her, kneeling on the damp earth, carefully parting the fallen leaves to reveal their modest, almost shy faces. They weren’t flamboyant. They didn’t demand attention. Their blue was a deeper, quieter hue – the colour of twilight, of still water, of the vast, silent sky.
That was the violets are blue part of their love.
It was the comfort of her hand finding his under the table, without a word. It was the shared glance across a crowded room that spoke volumes. It was the way she knew exactly what he needed before he did – a hot cup of tea on a cold morning, a silent presence during a bad day, an unexpected squeeze of his arm just when doubt crept in. It was the understanding that didn’t need explanation, the quiet anchor in the storms of life. It was the loyalty that whispered, "I am here," long after the shouts of passion had settled into a steady hum.
He knelt now, not among the showy roses, but by the shaded earth near the oak. The leaves were thicker this time of year, autumn hinting at its arrival. He brushed them aside, his eyes searching. And there, nestled shyly, were a handful of violets. Their colour was a revelation, not a bold statement, but a deep, serene truth. They didn’t shout, they simply were.
Arthur carefully plucked one, its stem cool and delicate between his fingers. He held it up, next to the rose he had just admired. The rose was a firework, magnificent and fleeting. The violet was a deep breath, an enduring calm.
He thought of the poet, likely a young one, who had first penned that simple rhyme. Had they, too, understood the unspoken depth? Had they known that while love burst forth in crimson, it deepened and matured in shades of serene blue? That the fiery declarations were just the beginning, and the true enduring beauty lay in the quiet, often overlooked corners?
He carried the single violet back to a small, weathered stone bench near the rose beds, where Elara used to sit and read. He placed the violet gently on the cool stone, its deep blue a soft contrast to the grey.
"Roses are red," he murmured again, his voice raspy. He looked at the vibrant blooms, a testament to a love that had burned bright. Then his gaze softened, fixed on the tiny violet. "And violets are blue."
And in that quiet moment, with the setting sun painting the sky in fiery hues above and the humble violet resting beneath, Arthur understood that the truest love wasn't just about the colour you saw, but the depth you felt. It was about both the magnificent declaration and the quiet, enduring truth found in the shadows.
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LES ROSES SONT ROUGES (LES VIOLETTES SONT BLEUES) : Un extrait d'un générateur de romans IA
Arthur caressa d'un pouce noueux le pétale velouté d'une rose d'un rouge profond, une fleur si parfaitement dessinée qu'elle semblait peinte. Le soleil de fin d'après-midi, déjà en train de descendre vers l'horizon, projetait de longues ombres paresseuses sur l'allée du jardin, transformant les grains de poussière en minuscules étoiles dansantes. Un léger soupir s'échappa de ses lèvres.
« Les roses sont rouges », fredonna-t-il, ce refrain familier, une vieille mélodie dans sa tête. Il l'avait entendue d'innombrables fois, chantée enfant, citée dans des lettres d'amour maladroites jeune homme. C'était la déclaration la plus simple, la plus universelle. Audacieuse. Sans complexe. Une touche de passion sur la toile du monde.
Et puis, comme toujours, ajouta son esprit, les violettes sont bleues.
Il marqua une pause, un sécateur à la main. Les roses de son jardin étaient un héritage d'Elara, sa femme. Elle les avait aimées d'une joie féroce, presque possessive. Leurs couleurs vibrantes reflétaient son propre esprit : fougueux, immédiat, indéniablement présent. Leurs premières années avaient été une explosion de rouges : les rires qui résonnaient dans la petite maison, les disputes qui s'enflammaient et s'estompaient tout aussi vite, le rouge sur ses joues après une blague, l'intensité de son regard lorsqu'elle parlait de ses rêves. C'était la part « les roses sont rouges » de leur amour. Les grands gestes, les déclarations publiques, l'épanouissement passionné et indéniable.
Mais il y avait aussi les violettes.
Elles ne poussaient pas dans les massifs impeccables. Non, Elara les avait cultivées elle-même, cachée sous le vieux chêne, dans le coin le plus ombragé et le plus méconnu du jardin. Il se souvenait de l'avoir observée, agenouillée sur la terre humide, écartant soigneusement les feuilles mortes pour révéler leurs visages modestes, presque timides. Elles n'étaient pas flamboyantes. Elles n'exigeaient pas l'attention. Leur bleu était d'une teinte plus profonde, plus calme – la couleur du crépuscule, de l'eau calme, du ciel immense et silencieux.
C'était la partie de leur amour.
C'était le réconfort de sa main trouvant la sienne sous la table, sans un mot. C'était ce regard échangé à travers une pièce bondée qui en disait long. C'était sa façon de savoir exactement ce dont il avait besoin avant lui : une tasse de thé chaud par un froid matin, une présence silencieuse lors d'une mauvaise journée, une étreinte inattendue au moment où le doute s'installait. C'était la compréhension qui n'avait pas besoin d'explication, l'ancre silencieuse dans les tempêtes de la vie. C'était la loyauté qui murmurait : « Je suis là », bien après que les cris de passion se soient transformés en un bourdonnement régulier.
Il s'agenouilla, non pas parmi les roses éclatantes, mais près de la terre ombragée, près du chêne. Les feuilles étaient plus épaisses à cette époque de l'année, l'automne annonçant son arrivée. Il les écarta, le regard scrutant. Et là, blotties timidement, se trouvaient une poignée de violettes. Leur couleur était une révélation, non pas une déclaration audacieuse, mais une vérité profonde et sereine. Elles ne criaient pas, elles étaient, tout simplement.
Arthur en cueillit une avec précaution, sa tige fraîche et délicate entre ses doigts. Il la leva, à côté de la rose qu'il venait d'admirer. La rose était un feu d'artifice, magnifique et fugace. La violette était un souffle profond, un calme durable.
Il pensa au poète, probablement un jeune, qui avait écrit cette simple comptine. Avaient-ils, eux aussi, compris cette profondeur inexprimée ? Avaient-ils su que si l'amour éclatait en pourpre, il s'approfondissait et mûrissait dans des nuances de bleu serein ? Que ces déclarations enflammées n'étaient qu'un début, et que la véritable beauté durable résidait dans les recoins tranquilles, souvent négligés ?
Il rapporta la violette jusqu'à un petit banc de pierre patiné, près des massifs de roses, où Elara avait l'habitude de s'asseoir pour lire. Il la déposa délicatement sur la pierre fraîche, son bleu profond contrastant doucement avec le gris.
« Les roses sont rouges », murmura-t-il à nouveau d'une voix rauque. Il contempla les fleurs éclatantes, témoignage d'un amour qui avait embrasé la pièce. Puis son regard s'adoucit, fixé sur la minuscule violette. « Et les violettes sont bleues. »
Et dans ce moment de calme, avec le soleil couchant peignant le ciel de teintes flamboyantes au-dessus et la modeste violette reposant en dessous, Arthur comprit que l'amour le plus véritable ne résidait pas seulement dans la couleur qu'on voyait, mais dans la profondeur qu'on ressentait. Il résidait à la fois dans la magnifique déclaration et dans la vérité silencieuse et durable qui se trouvait dans l'ombre.
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