Monday, March 25, 2024
GLOBAL WARMING | By Fred Gadmoski | Part 2
SHRINKING POLAR ICE
Scientists from the National Snow and Ice Data Center at the University of Colorado in Boulder reported in October reached its annual minimum in September at 2.2 million square miles (5.7 million square kilometers). This measurement was the second lowest value since records began in the 1970’s. Only in 2005, when the minimum was 2.0 million square miles (5.2 million square kilometers), was there less Arctic sea ice. The researchers suggested that unusually cold weather in August probably prevented a new record from being established.
Polar sea ice is an important indicator of climate change, because it is sensitive to initial warming trends. As sea ice, which reflects much sunlight, melts, more of the darker ocean water is exposed. This darker surface absorbs more of the sun’s heat energy, which further increases air temperatures near the water, ocean temperatures themselves, and the melting of sea ice.
UNEXPECTED OCEAN COOLING
Researchers at the National Oceanic and Atmospheric Administration’s Pacific Marine Environmental Laboratory in Seattle reported in September 2006 that the average temperature of the top layer of Earth’s oceans dropped slightly from 2003 to 2005. According to the scientists, the heat content of the upper 2,500 feet (750 meters) of ocean water decreased by 0.055 F (0.031 C) – an amo9unt that was equal to approximately 20 percent of the total heat gained by the world’s oceans between 1955 and 2003.
The researchers noted that ocean water was still warmer in 2005 than it had been in the 1980’s, but they had no explanation for the observed cooling, which was not predicted by any climate model. Because the ocean is a vast storehouse of energy that helps to drive the world’s climate system, temperature changes in the ocean are a key to understanding long-term climate change.
THE ROLE OF THE SUN
A Study published in March 2006 by scientists at Duke University in Durham, North Carolina, concluded that changes in the amount of energy from the sun can account for as much as 50 per cent of the observed global temperature increase between 1900 and 2000 and as much as 35 percent of the warming between 1980 and 2000. The scientists noted that these results suggested that human-induced warming may have played a progressively greater role during the 1900’s.
In October 2006, researchers at the center for Sun-Climate Research in Denmark provided experimental evidence demonstrating how cosmic rays, high-speed atomic particles streaming from distant exploding stars, can affect the formation of clouds in Earth’s atmosphere. Their experiment, which involved cosmic radiation passing through a chamber filled with atmospheric gases, showed that cosmic rays can promote chemical processes in the atmosphere that form condensation nuclei. Condensation nuclei are microscopic particles that aid the development of cloud droplets.
The Danish researchers explained that the strength of the sun’s magnetic field, which helps shield Earth from cosmic rays, doubled during the 1900’s. This fact led the researchers to propose that reduced cosmic radiation resulting from the stronger magnetic field would lead to less cloud formation – and subsequent higher global temperatures.
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RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE | Par Fred Gadmoski | Partie 2
RÉTRAIT DES GLACES POLAIRES
Les scientifiques du Centre national de données sur la neige et la glace de l'Université du Colorado à Boulder ont rapporté qu'en octobre, leur minimum annuel avait été atteint en septembre, à 2,2 millions de miles carrés (5,7 millions de kilomètres carrés). Cette mesure est la deuxième valeur la plus basse depuis le début des relevés dans les années 1970. Ce n'est qu'en 2005, lorsque le minimum était de 2,0 millions de milles carrés (5,2 millions de kilomètres carrés), qu'il y avait moins de glace marine dans l'Arctique. Les chercheurs suggèrent que le temps inhabituellement froid du mois d'août a probablement empêché l'établissement d'un nouveau record.
La glace de mer polaire est un indicateur important du changement climatique, car elle est sensible aux tendances initiales au réchauffement. À mesure que la glace de mer, qui reflète une grande partie de la lumière du soleil, fond, une plus grande partie de l’eau océanique plus sombre est exposée. Cette surface plus sombre absorbe une plus grande partie de l’énergie thermique du soleil, ce qui augmente encore la température de l’air près de l’eau, la température des océans eux-mêmes et la fonte des glaces marines.
REFROIDISSEMENT INATTENDU DES OCÉANS
Des chercheurs du Pacific Marine Environmental Laboratory de la National Oceanic and Atmospheric Administration à Seattle ont rapporté en septembre 2006 que la température moyenne de la couche supérieure des océans de la Terre avait légèrement baissé entre 2003 et 2005. Selon les scientifiques, le contenu thermique des 2 500 pieds supérieurs ( 750 mètres) d'eau océanique a diminué de 0,055 F (0,031 C), soit une quantité qui équivalait à environ 20 pour cent de la chaleur totale gagnée par les océans de la planète entre 1955 et 2003.
Les chercheurs ont noté que l’eau des océans était encore plus chaude en 2005 que dans les années 1980, mais ils n’ont eu aucune explication au refroidissement observé, qui n’était prévu par aucun modèle climatique. Parce que l’océan est un vaste réservoir d’énergie qui contribue à alimenter le système climatique mondial, les changements de température dans l’océan sont essentiels à la compréhension du changement climatique à long terme.
LE RÔLE DU SOLEIL
Une étude publiée en mars 2006 par des scientifiques de l'Université Duke de Durham, en Caroline du Nord, a conclu que les changements dans la quantité d'énergie solaire peuvent représenter jusqu'à 50 pour cent de l'augmentation de la température mondiale observée entre 1900 et 2000 et autant cela représente 35 pour cent du réchauffement entre 1980 et 2000. Les scientifiques ont noté que ces résultats suggèrent que le réchauffement induit par l'homme pourrait avoir joué un rôle de plus en plus important au cours des années 1900.
En octobre 2006, des chercheurs du centre de recherche Soleil-Climate au Danemark ont fourni des preuves expérimentales démontrant comment les rayons cosmiques, des particules atomiques à grande vitesse provenant d'étoiles lointaines qui explosent, peuvent affecter la formation de nuages dans l'atmosphère terrestre. Leur expérience, qui impliquait le passage du rayonnement cosmique à travers une chambre remplie de gaz atmosphériques, a montré que les rayons cosmiques peuvent favoriser des processus chimiques dans l’atmosphère qui forment des noyaux de condensation. Les noyaux de condensation sont des particules microscopiques qui facilitent le développement de gouttelettes nuageuses.
Les chercheurs danois ont expliqué que la force du champ magnétique solaire, qui contribue à protéger la Terre des rayons cosmiques, a doublé au cours des années 1900. Ce fait a conduit les chercheurs à proposer que la réduction du rayonnement cosmique résultant d’un champ magnétique plus fort entraînerait une moindre formation de nuages et, par conséquent, des températures mondiales plus élevées.
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