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"In a couple of years, biometrics will be everywhere," predicts Raj Nanavati of the International Biometric Group, a consulting firm in New York City. Although researchers have explored these technologies for years, devices have only recently become cheap enough to be integrated into common products. Fingerprinting is the most widely known biometric, but other approaches, such as face recognition, hand geometry, voice printing, and signature verification, also have potential. Calculating the degree of security actually provided by these various biometrics is a difficult task, however, and researchers are still exploring this problem, even as actual devices are being rolled out into the market place. When credit and ATM cards are lost or stolen, an unauthorized user can often come up with the correct personal codes. Despite warnings, many people continue to choose easily guessed PINs and passwords: birthdays, phone numbers, and social security numbers. Recent cases of identity theft have heightened the need for methods to prove that someone is truly who he or she claims to be. Biometrics may solve this problem, since a fingerprint or an iris is undeniable connected to its owner. The system can then compare scans to records stored in a central or local database or even on a smart card (SN: 2/1/97, p. 78). Iris scanning is one of the most secure biometrics, simply because of the large number of independent features that can be coded. Consisting of fibrous and vascular tissue and pigment granules, the iris possesses about 266 measurable features. "No other part of the body has this many [useful attributes]," says Leonard Flom, an ophthalmologist in Westport, Conn. Fingerprints run a distant second, with about 40 characteristics.
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YEUX PRIVÉS | L'IDENTIFICATION BIOMÉTRIQUE EST CONÇUE POUR REMPLACER LES MOTS DE PASSE ET LES PINS. | Par Corrina Wu | Partie 2
"Dans quelques années, la biométrie sera partout", prédit Raj Nanavati de l'International Biometric Group, un cabinet de conseil basé à New York. Bien que les chercheurs explorent ces technologies depuis des années, les appareils ne sont devenus suffisamment bon marché que récemment pour être intégrés dans des produits courants. La prise d'empreintes digitales est la méthode biométrique la plus connue, mais d'autres approches, telles que la reconnaissance faciale, la géométrie des mains, l'impression vocale et la vérification des signatures, ont également du potentiel. Calculer le degré de sécurité réellement fourni par ces différentes données biométriques est cependant une tâche difficile, et les chercheurs explorent toujours ce problème, alors même que de véritables dispositifs sont déployés sur le marché. Lorsque des cartes de crédit et des cartes ATM sont perdues ou volées, un utilisateur non autorisé peut souvent trouver les bons codes personnels. Malgré les avertissements, de nombreuses personnes continuent de choisir des codes PIN et des mots de passe faciles à deviner : anniversaires, numéros de téléphone et numéros de sécurité sociale. Des cas récents d’usurpation d’identité ont accru le besoin de méthodes permettant de prouver qu’une personne est réellement celle qu’elle prétend être. La biométrie pourrait résoudre ce problème, puisqu’une empreinte digitale ou un iris sont indéniablement liés à son propriétaire. Le système peut ensuite comparer les analyses aux enregistrements stockés dans une base de données centrale ou locale ou même sur une carte à puce (SN : 2/1/97, p. 78). Le balayage de l'iris est l'un des systèmes biométriques les plus sécurisés, simplement en raison du grand nombre de caractéristiques indépendantes pouvant être codées. Constitué de tissus fibreux et vasculaires et de granules pigmentaires, l'iris possède environ 266 caractéristiques mesurables. "Aucune autre partie du corps ne possède autant d'attributs utiles", explique Leonard Flom, ophtalmologiste à Westport, dans le Connecticut. Les empreintes digitales arrivent loin derrière, avec environ 40 caractéristiques.
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